Il s'agit d'un culte monothéiste qui s'apparente à la religion chrétienne.Paulus est la figure fondatrice de la religion Universalis, et considéré comme le Prophète et le Fils de l'Unique Dieu Universel. Se répandant d'abord à travers les Royaumes du Latium, Universalis sera ensuite adopté par l'ensemble des peuples eurôpêens (à l'exception des Vikings) dans le courant du IIIème siècle.
Le Souverain Pontife du Latium est le représentant officiel de l'Universalis et porte de ce fait la parole du Dieu Universel. Son palais se trouve à Rumon, considérée comme la capitale du Monde par les universalistes.
Universalis s'est longtemps opposé à Ism Fâ, les pratiquants de l'une ou l'autre religion s'affrontant dans de vaines guerres saintes, avant de reconnaître et d'accepter l'existence de cette autre religion avec qui elle partage de nombreux points communs.
Les croyances et pratiques des universalistes se définissent par des doctrines parmi lesquelles ont retrouve la croyance au prophète Paulus et en sa résurrection, l'affirmation de l'unicité de Dieu, la vie, la mort, l'enfer, le paradis ou qu'une âme ne peut être sauvée que si la personne est universaliste. Bien plus que dans les autres religions, les universalistes veulent convertir ceux qu'ils considèrent comme des brebis égarées (voir les missionnaires effectuant des conversions de masses chez les peuples indigènes du Nouveau-Monde).




C'est la religion pratiquée dans l'ensemble de l'Arabiya. Elle s'apparente à l'Islam tel qu'il était considéré du temps des Croisades. C'est une religion également monothéiste proche de Universalis dans la mesure où elle en reconnait le prophète et les écrits, bien que pendant longtemps des conflits idéologiques ont opposés les deux cultes.
Un adepte de l'Ism Fâ est appelé un Muslim.
Ism Fâ prendrait son origine dans une antique religion qui aurait été pratiquée dans les premiers temps de l'Humanité, et s'en veut la révélation en langue arabiya dont le dieu créateur de toute chose se nomme Ibrahim. Ism Fâ se défini donc comme étant la Voie d'Ibrahim, c'est-à-dire une soumission exclusive à Dieu et en reconnait tous les prophètes. Il revendique le monothéisme le plus épuré où le culte est voué exclusivement à Dieu.
Les croyances et pratiques des muslims sont quasi similaires à celles des universalistes, avec qui ils partagent cette volonté de conversion massive des peuples.




Pratiquée en Nouvelle-Bretonnie mais aussi dans l'est des Principautés du Waldking et parfois dans le Duché de Bordelaux, la mythologie druidique est basée entièrement en la croyance aux forces de la Nature, aux esprits s'incarnant en toute chose (plante, animal, vent, terre, eau...) et prône le respect et la compréhension avec ceux-ci.
Les druides (druide voulant dire : celui qui est très savant) ne sont pas considérés comme des prêtres mais plutôt comme des guides. Ce sont ceux qui parlent aux esprits, interprètent leurs propos et les retranscrivent aux Hommes. Ils bénéficient également de certains pouvoirs que leur accordent les esprits, ont la science de la médecine par les plantes, pratiquent le magnétisme et savent écrire les runes (textes gravés sur pierre ou écorce d'arbre) dans une langue qu'eux seuls comprennent.
La religion des druides enseigne que chaque homme possède une âme immortelle, qui passe, lors du décès, dans le corps d’un autre homme et qu'il ne faut donc pas craindre la mort et même, ne pas hésiter à la devancer.
Si pendant longtemps, les druides ont pratiqués des sacrifices humains, ceux-ci sont désormais interdit.




Le Vaudou est une religion méconnue pratiquée dans l'extrême sud mais aussi dans l'archipel Sana'a par les peuples autochtones noirs. Elle a été importée dans certaines colonies du Nouveau-Monde par les esclaves.
Le Vaudou désigne l'ensemble des dieux ou des forces invisibles dont les hommes essaient de se concilier la puissance ou la bienveillance. Il est l'affirmation d'un monde surnaturel, mais aussi l'ensemble des procédures permettant d'entrer en relation avec celui-ci. C'est un culte à l'esprit du monde de l'invisible.
Il se caractérise par les rites d'incorporation (possession volontaire et provisoire par les esprits), les sacrifices d'animaux, la croyance aux morts-vivants (zombies) et en la possibilité de leur création artificielle, ainsi que la pratique de la sorcellerie sur des poupées à épingles (poupée vaudou).
Cette religion est toutefois interdite par les colons dans le Nouveau-Monde et ceux qui la pratique, massivement les esclaves noirs, sont passible de mort ou d'emprisonnement. Le Vaudou est donc pratiqué de manière secrète.




Le culte pratiqué par le peuple Tezcatlipoca. Il se distingue en particulier par la place prépondérante du dieu tribal originel, Huitzilopochtli, divinité de la guerre et du soleil, dont les Tezcatlipocas se considèrent comme le peuple élu, chargé d'assurer la marche du soleil en le nourrissant par les sacrifices. Outre la croyance en ce dieu principal, la mythologie Tezcatlipoca se caractérise par un polythéisme illimité et strictement fonctionnel, c’est-à-dire que les dieux, voués à la conservation du monde, sont affectés à des tâches précises d'assistance aux hommes.
Contrairement aux philosophies moralisatrices, la mythologie Tezcatlipoca n'est pas basée sur la problématique du paradis et de l'enfer ou du bien et du mal, mais s'articule autour d'une dualité universelle, la vie et la mort incarnant deux pôles complémentaires plutôt qu'opposés de l'existence humaine et de la création.




C'est une religion polythéiste pratiquée dans l'ensemble des territoires vikings (Union de Skadan). Dans la mythologie viking, Asgard est le centre du monde, le royaume peuplé des dieux fondateurs sur lesquels règne Odin, le père des dieux.
Les mythes nordiques ont l'originalité de n'être transmis que de manière orale, sous formes de poèmes ou de récits qui élève la narration d'épopées mythologiques en une expression artistique, et il n'en existe de ce fait aucun écrit. Appelées sagas, ces récits relatent des évènements des temps anciens, d'un passé légendaire, de bien avant l'âge des Vikings, où se côtoient héros, dieux et créatures mythologiques.








Il n’y a pas une, mais des façons pour les tribus indigènes de l'Amazonas, du Vinland et de la Nouvelle-Bretonnie, mais aussi des îles et archipels, dans le Nouveau-Monde, de se représenter le monde qui les entoure, et ces façons varient avec chacune de ces nations autochtones. Le monde dont il est question ici, c’est d’abord l’habitat propre à chaque nation : la forêt, la plaine, les lacs, les marais, les rivières, les montagnes où ils sont appelés à vivre avec tous les voisins humains, animaux, végétaux, tantôt amicaux, tantôt menaçants, tous souvent représentés par un totem. Ce monde comprend également une zone éloignée, plus ou moins invisible, constituée entre autres du soleil, de la lune, des constellations, autant de puissances qui contrôlent mystérieusement l’incontrôlable.
Mythes et légendes mettent en scène la gestation d’un monde diversifié et tout récit est transmis oralement. Tout ici est avant tout affaire de respect et communion avec la Nature, où l'esprit d'un dieu comme d'un grand-guerrier peut s'incarner dans un loup, un pin ou le sillon d'une rivière.